Suite
« On croit connaître l'oeuvre de Gounod, mais peut-être qu'on n'en connaît que des moments, les cinq, six, sept airs qu'on peut chanter dans sa salle de bain... Sur chacun de ces airs, un dépoussiérage est possible », glisse Georges Lavaudant.
D'où l'idée originale, et d'exécution périlleuse, de remplacer le traditionnel miroir dans lequel Marguerite, parée des bijoux de la cassette, se mire par une robe parsemée d'éclats de miroir brisés qui la reflètent.